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J’ai été accepté comme escorte mafieuse, mais le rôle n’a pas été aussi simple et direct que je l’avais imaginé. Après avoir servi plusieurs chefs de la mafia pour prouver que j’étais sérieux et digne d’être dans leur écurie, j’ai été renvoyé. Il a fallu près d’une semaine avant que le premier appel ne soit reçu sous la forme d’un SMS. C’était énigmatique et vague. Il donnait une adresse et une heure. Il disait que je devais rencontrer un prêtre, le père Zetta, et lui dire que « le paiement est en cours ». Cela se terminait par “Assurez-vous qu’il est satisfait de notre arrangement.” Mes questions sont restées sans réponse.
Bien sûr, je pensais qu’il voudrait du sexe, mais il était prêtre. Je ne suis pas assez naïf pour penser que tous les prêtres prennent au sérieux leur vœu de célibat. Mais je ne suis pas catholique, du moins pas activement. Je n’ai jamais rencontré de prêtre. Je n’avais aucune idée de qui il serait, ni de ce à quoi on s’attendrait. “Assurez-vous qu’il est content.” C’était évidemment une question ouverte. Mais il était prêtre, donc il n’en voudrait sûrement pas autant. Je m’imaginais à genoux devant un vieil homme, entretenant sa bite à moitié dure et ses couilles ridées. Cela m’a fait frissonner, mais j’avais accepté cela.
Je suis arrivé à l’endroit désigné. J’ai flâné dans le couloir pendant deux minutes afin de sonner à la porte au moment où les cloches de l’église du pâté de maisons sonnaient l’heure. J’ai été choqué lorsque la porte s’est ouverte. La dernière chose à laquelle je m’attendais, c’était l’homme qui se tenait devant moi. Il avait la trentaine, brun, barbu, ses yeux brillaient d’une émotion que je ne pouvais pas définir. Son corps rayonnait de masculinité comme un poêle brûlant. Je me demandais si j’étais au bon endroit ; du moins si c’était la bonne personne. Dans quoi m’étais-je embarqué ? Vraisemblablement, ce rendez-vous était censé être secret. Combien dois-je divulguer ? Et pourtant, il portait un crucifix en or autour du cou. Avec hésitation, j’ai demandé : « J’ai un message pour le père Zetta ?
L’homme m’a attrapé le bras et m’a tiré brutalement dans l’appartement, fermant rapidement la porte derrière moi. Il a demandé : « Qui es-tu ?! » Je lui ai donné mon nom. « Non ! Je veux dire, qui t’a envoyé ? Pourquoi es-tu ici ? J’ai répété le texte mot pour mot. Il s’est visiblement détendu mais il était clair qu’il ne me faisait pas confiance… (plus d’info sur StagHomme sur Carnal+…)
