“-” — Jordan
🇫🇷
Le Père Jakob m’a appris que malgré les enseignements extérieurs de l’Église, les hommes de la confrérie des prêtres doivent se soutenir mutuellement, même si cela implique de se réconforter mutuellement dans leurs désirs sexuels. Ma première fois avec le Père Jakob a été une expérience étonnante, presque spirituelle. Je n’aurais jamais imaginé que mes désirs sexuels seraient acceptés par l’Église. Je voulais devenir prêtre pour fuir mes désirs pour les autres hommes ; ou du moins, apprendre à leur résister en me consacrant à l’Église mais maintenant je découvre qu’ils sont au centre de ma dévotion spirituelle.
Je ne sais pas si le père Jakob a dit quelque chose au père Angelo ou non. Peut-être, comme l’a dit le Père Jakob, que les hommes de l’Église se réconfortent mutuellement et que le Père Angelo vient de me chercher seul. Quoi qu’il en soit, peu de temps après ma rencontre avec le Père Jakob, le Père Angelo a commencé à s’intéresser à moi. Au début, il s’agissait simplement de vérifier si j’allais bien, puis de petits gestes d’affection fraternelle, une tape sur l’épaule, un câlin. Cela a évolué jusqu’à offrir une oreille attentive, des conseils si j’en avais besoin, ce genre de choses, me répétant à plusieurs reprises que sa porte était toujours ouverte.
Dès qu’il m’a eu seul, il est vite devenu clair qu’il avait d’autres motivations. Plutôt que de simplement m’offrir un réconfort spirituel, il s’intéressait davantage à ma capacité à lui offrir un réconfort physique. J’aurais pu être choqué, voire horrifié, si le père Jakob ne m’avait pas préparé à cela, du moins en quelque sorte. Dans l’état actuel des choses, j’étais toujours pris au dépourvu. La vérité est que le Père Angelo est un bel homme. Le genre d’homme qui laisse les femmes d’église secouer la tête, regrettant le « gaspillage » d’un si bel homme dans la prêtrise. Ils ne le savent pas beaucoup, mais il n’est pas difficile d’être l’objet des désirs d’un tel homme.
Ce n’était pas un sacrifice pour répondre aux besoins du Père Angelo. C’était en fait un plaisir. Un si grand que, parfois, cela semble presque un péché. Le Père Angelo se montre toujours prudent. Il vient me chercher tard le soir et prétend que nous communiquons simplement dans l’Esprit, ensemble. Cependant, ce ne sont que quelques instants avant qu’il me déshabille. Cela ne sert à rien qu’il nie à quel point il a faim de mon corps. Dès qu’il m’a déshabillée, il me ravit avec ses lèvres et ses mains.
Il devient un tigre enragé, un tourbillon de désir lubrique, et je suis emportée dans son étreinte, réduite à un jouet sexuel gémissant, impuissante dans son étreinte. J’essaie de me dire que nous sommes deux prêtres qui s’offrent mutuellement le réconfort nécessaire pour que nous puissions nous concentrer sur notre dévotion. En vérité, ce n’est pas du tout ce dont il s’agit. Nous sommes deux étalons ivres de testostérone en rut comme les animaux mâles que nous sommes. Ce n’est pas un acte d’amour fraternel. C’est putain ; putain comme si des démons nous possédaient. Que Dieu m’aide, j’espère que ce n’est pas vrai, mais je ne peux pas dire que je m’en soucie vraiment… (plus d’infos sur CatholicBoys…)
